Anvers, le 27 avril 2017 – Après une campagne de crowdfunding menée avec succès, YUN Probiotherapy lance une gamme de produits de soin de la peau révolutionnaires, à base de bactéries bénéfiques. La start-up biotech est la première entreprise du monde qui a été capable de transformer des probiotiques vivants en produits de soin pour la peau commercialisables. Les produits YUN Probiotherapy représentent une toute nouvelle catégorie de soins et une avancée scientifique majeure en vue de réduire l’usage d’antibiotiques. Ils sont dès à présent disponibles sur le marché.

« Comme ancien pharmacien, je me suis souvent demandé pourquoi, en luttant contre les bactéries néfastes, nous devions aussi éliminer les bactéries bénéfiques ? Avec YUN, nous sommes partis d’une idée à la fois simple et radicale : et si nous apportions simplement les bactéries bénéfiques dont l’organisme a besoin ? Nous traiterions ainsi les symptômes, tout en renforçant durablement les couches protectrices importantes de la peau. Et c’est précisément ce que nous avons réussi à faire ! », explique Tom Verlinden, Managing Director de YUN Probiotherapy.

Les produits de YUN permettent de traiter rapidement et efficacement les symptômes d’affections comme l’acné, les mycoses et les infections vaginales. YUN lance également une large gamme de soins quotidiens. « Nos produits opèrent de deux manières. D’une part, ils apportent des bactéries bénéfiques là où les problèmes cutanés se présentent. D’autre part, ils protègent durablement le microbiome, la couche de protection de la peau la plus importante », confirme Tom Verlinden.

« Le microbiome constitue notre premier mécanisme de protection contre les problèmes de peau, qu’ils soient nouveaux ou répétitifs. Les savons et les produits de soin les plus durs tuent ou éliminent non seulement les mauvaises bactéries qui provoquent les problèmes cutanés, mais aussi celles qui veulent du bien à notre peau. Un microbiome robuste est essentiel pour lutter durablement contre les problèmes de peau. Pour cela, il a besoin de ces bonnes bactéries », ajoute Sarah Lebeer, Professeure de Microbiologie à l’Université d’Anvers.

Les produits de soin de YUN ne font donc qu’apporter à la peau les éléments naturels dont elle a besoin. Les bonnes bactéries, appelées probiotiques, renforcent la couche de protection de la peau et rétablissent son équilibre naturel à long terme. Les bactéries bénéfiques, naturellement présentes sur la peau, restent ainsi en vie. Les produits de soin ne contiennent aucun conservateur nocif et sont donc sûrs à 100% pour la peau.

Si l’idée d’apporter à la peau des bactéries bénéfiques plutôt que d’éliminer toutes les bactéries peut sembler simple, la mise en œuvre l’est beaucoup moins. Dans le domaine des soins naturels de la peau, l’avancée scientifique de YUN Probiotherapy est unique. Elle se base sur plus de dix années de recherche en collaboration avec des scientifiques de renom de l’Université d’Anvers. Jusqu’à présent, aucune autre entreprise n’avait réussi à transformer les bons probiotiques vivants en produits de soin pour la peau commercialisables.

Le Docteur Ingmar Claes est l’une des scientifiques qui a collaboré pour YUN à ce projet : « Les résultats de laboratoire sont excellents et les premiers tests cliniques confirment ce que nous pensions. La probiothérapie permet de restaurer l’équilibre naturel de la peau et d’éliminer les symptômes d’affections bien connues, en maximum quatre semaines, et même souvent plus rapidement. Nous sommes parvenus à identifier les bons probiotiques pour la peau et avons développé des microcapsules uniques qui nous permettent de les utiliser dans nos produits de soin. La probiothérapie est une avancée majeure qui aidera à réduire le traitement des problèmes cutanés par antibiotiques. »

Les produits sont disponibles sur yun-probiotherapy.com/buy et auprès d’une sélection de détaillants et de pharmacies. Dans le futur, YUN compte bien développer de nouveaux produits et entrevoit de nouvelles applications pour la probiothérapie. L’entreprise a récemment reçu un subside supplémentaire de 500.000 euros de l’Agence flamande Innover et Entreprendre (VLAIO) et ouvrira très prochainement un nouveau laboratoire scientifique au sein de l’incubateur Darwin de l’Université d’Anvers.